J’ai une petite histoire avec Iskari. Quand Gallimard m’a fait parvenir le service presse, j’ai tout de suite été emballée. Je veux dire: DES DRAGONS !!! 

Donc quand je l’ai commencé, par habitude, j’ai regardé le titre originel. The Last Namsara. Et la j’ai eu un flash. Ce livre traine sur mon bureau depuis sa sortie en anglais, et il ne m’a pas attiré. Il faut vraiment que j’arrête de me baser sur les couvertures. 

J’ai commencé Iskari à un moment où je n’avais pas le temps de lire. Donc j’ai pu lire seulement quatre page. Et elles m’ont suffit. On rentre dans l’action des les premières lignes. 

J’ai été incapable de lâcher ce  livre à la seconde où j’ai pu me poser pour le lire. Il est prenant, addictif. 

L’histoire est passionnante, et entrecoupée de légendes, ce que j’adore. J’aime quand le monde d’un livre a ses propres histoires, légendes, croyances...

Avec Iskari, gallimard jeunesse nous prouve encore une fois la qualité des livres qu’ils choisissent.