Quand Nadège m’a demandé quel serait le thème de mon article sur Silence Radio, le choix s’est imposé à moi. La pression scolaire.
En effet, c’est ce qui m’a le plus touchée dans ce livre. Je souffre de phobie scolaire depuis mon entrée à l’université, et ce livre et son message m’ont touchée en plein coeur.
Dans Silence Radio, on retrouve Aled et Frances, et une myriade d’autres personnages, tous plus ou moins touchés par la pression scolaire.
Le but de la vie d’Aled et Frances est d’aller dans une université prestigieuse, tel qu’Oxford ou Cambridge.
Si la mère de Frances est compréhensive, c’est le contraire de celle d’Aled. Ce livre nous montre rapidement un Aled déchiré par cette attente monstrueuse qu’a sa mère face à ses résultats scolaires. Il va jusqu’à créer son podcast, où Radio est coincé à Universe City (University = université). Cela montre la pression qui le ronge de jour en jour.
En parallèle à Aled, nous avons Frances. Frances subit la pression sociale de l’école, ce que les professeurs attendent d’elle. Elle en vient même à cacher sa personnalité à ses amis,et devient une personne étrangère lorsqu’elle est au lycée.
Cependant tout change lorsque nos deux protagonistes font la connaissance l’un de l’autre. Ils finissent par se rendre compte que réussite scolaire ne rime pas avec bonheur. Et c’est là toute la force de ce livre.
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